« Harraga » est le terme utilisé dans les dialectes marocain, tunisien et algérien pour définir le migrant qui se déplace sans documents, qui « brûle les frontières ». Le photographe Giulio Piscitelli a suivi les routes de ces migrants essayant d’entrer en Europe. Fruit d’un long projet entamé en 2010, Harraga est un témoignage unique sur les conséquences désastreuses.
visite adaptée en LSF
réservation conseillée : reservation@maisondesmetallos.org